LUNT
water belongs to the night
UR41 - TA08 - 2014, Creative commons
1 | No matter where we drown |
2 | The liquid gleam part 1 |
3 | The liquid gleam part 2 |
4 | Lift your hands to the light |
5 | Stumbling crystals |
6 | Poison goes back to the ground |
7 | Golem of fire (a tribute to Heraclite) |
8 | The intransitivist |
9 | I was born in an ocean of sound |
Après son album "Switch the letters" salué par la
critique pour son songwriting ciselé et délicat, Lunt
revient avec un album à l'opposé, à savoir
composé de son travail expérimental. "Water belongs to
the night" présente la facette la plus sombre de son univers
musical. Après les albums "Broken words and lost answers" et
"fragments of free", c'est son album le plus abouti, basé sur
des loops, drones et glitches, le tout uniquement composé
à la guitare électrique, sans laptop, avec comme seule
guide l'improvisation. L'atmosphère pourra rappeler parfois
celle des travaux de Fred Frith, des travaux solo instrumentaux de Lee
Ranaldo, ou le raffinement des débuts de
Rafael Toral (Wave Field, Violence of discovery calm of
acceptance). Ce disque est également la première
référence pressée au format CD de notre
subdivision expérimentale Tremens Archives initiée par
Lunt il y a 3 ans, et contient à l'intérieur du disques
toutes les informations sur celle-ci, notamment sur son éthique
de recherche musicale.